Exercice de style --> bd
Pour mon simple plaisir et pour rendre mon temps encore plus improductif, je me suis amusé ces derniers jours à dessiner une bd -- petits dessins de rien du tout que j'ose, ici, de soumettre publiquement. Il faut voir cette bd comme un exercice de style, un premier exercice de ce genre, une tentative exploratoire. Et j'ai tellement aimé l'expérience que je compte continuer, m'améliorer, persévérer (malgré que ce mot m'horrifie); bref, je m'amuse à penser que j'en ferai un hobby, un passe-temps qui chasse les ennuis et les soucis, une pirouette imaginaire me permettant d'encore mieux déconnecter de ce magnifique monde dans lequel nous vivons.
Soit dit en passant, cette bd est éroootttiiiquue, wouai [oui avec un accent pervers]. Vous comprenez mieux maintenant la source du plaisir que j'ai eu en la dessinant. Je vous vois soit vous trémousser sous cette idée de voir du sexe, soit sourciller en vous offusquant (ce qui me surprendrait tout de même bien que ça demeure une possibilité). Hé bien sachez que cette bd est basée sur le texte «Pardon» de Robin. Donc si ça vous excite, vous êtes les bienvenu(e)s à laisser votre marque ici (et sur le site de Robin, naturellement); si ça vous offusque, hé bien, je n'en suis nullement responsable: il faut vous adresser à Robin qui a eu, lui, cette idée perverse d'écrire son texte. Moi, il m'a tout simplement inspiré; je ne suis que le simple et humble (hum hum) dessinateur.
[Désolé pour ce coup bas, Robin... Héhé, j'affectionne la chiennerie des fois. ;-) Pour me racheter :]
En fait, non. Deux égos tels que les nôtres n'accepteront que des commentaires jouissifs. Si vous n'aimez pas, passez votre tour.
Pour conclure cette blablatrie burlesque (toujours cette insomnie que me fait écrire des conneries), après avoir créer des attentes, me voilà en train de réfréner vos ardeurs de voyeurs/voyeuses: rappelez-vous que c'est une première tentative et qu'autant la technique (vulgaire stylo-bille noir pour l'encrage et très simple coloriage numérique) que l'aspect créatif sont très sommaires... Allez, je ne vous retiens pas plus longtemps. Bonne lecture.
Soit dit en passant, cette bd est éroootttiiiquue, wouai [oui avec un accent pervers]. Vous comprenez mieux maintenant la source du plaisir que j'ai eu en la dessinant. Je vous vois soit vous trémousser sous cette idée de voir du sexe, soit sourciller en vous offusquant (ce qui me surprendrait tout de même bien que ça demeure une possibilité). Hé bien sachez que cette bd est basée sur le texte «Pardon» de Robin. Donc si ça vous excite, vous êtes les bienvenu(e)s à laisser votre marque ici (et sur le site de Robin, naturellement); si ça vous offusque, hé bien, je n'en suis nullement responsable: il faut vous adresser à Robin qui a eu, lui, cette idée perverse d'écrire son texte. Moi, il m'a tout simplement inspiré; je ne suis que le simple et humble (hum hum) dessinateur.
[Désolé pour ce coup bas, Robin... Héhé, j'affectionne la chiennerie des fois. ;-) Pour me racheter :]
En fait, non. Deux égos tels que les nôtres n'accepteront que des commentaires jouissifs. Si vous n'aimez pas, passez votre tour.
Pour conclure cette blablatrie burlesque (toujours cette insomnie que me fait écrire des conneries), après avoir créer des attentes, me voilà en train de réfréner vos ardeurs de voyeurs/voyeuses: rappelez-vous que c'est une première tentative et qu'autant la technique (vulgaire stylo-bille noir pour l'encrage et très simple coloriage numérique) que l'aspect créatif sont très sommaires... Allez, je ne vous retiens pas plus longtemps. Bonne lecture.
par -flemay- Ã 00:08
6 non-dit(s):
J'ai écrit ça moi? Mon Dieu, pardonnez-moi! :P
Dire que j'ai fait pire. Tant qu'à moi je suis dû pour l'ENFER! Tant mieux, paraît qu'une succube, c'est fichtrement sexy!
Il m'arrive parfois de visiter l'Enfer question de m'acclimater avec ma future résidence -- un peu comme les futurs fous visitent leur futur asile, ou comme ces futurs vieux qui choisisent leur centre de petits vieux, leur maison funéraire et leur tombe. Et crois-moi, les succubes, il y en a pour tout les goûts et même pour les plus raffinés. (Un Satyre m'a expliqué lors d'une de ces visites cordiales que les succubes sont originaires, elle aussi, de notre monde, donc il est possible d'en retrouver à notre état de vivants. Il suffit de chercher un peu.)
Paraît que faut tout de même être prudent avec ces créatures. Il y en a qui collectionnent les pénis et elles les mettent dans des grands sacs en scrotum. Dans ces cas, pour ne pas perdre sa verge, jouer le vierge.
;)
et pourquoi messieurs voudriez-vous que les femmes collectionnent les verges coupées (donc même combat que les fleurs... éphémères) alors que les jardins en sont fournis ? ;))
bonne soirée
Robin : Avec les succubes, c'est ça, c'est le danger qui est excitant. Je ne savais pas toutefois qu'en mimant le puceau, on puisse sauver son membre viril...
Imagine : Sagesses féminines... rien n'arrive à vos jolies pieds.
C'est qu'elles ne coupent que ce qui est tout grand dressé, et fort bien entraîné, pas ce qui est discret et gêné, et trop peu utilisé. Mais je dis oui au risque, car certaines ont la bonté infernale de vous enchaîner et faire de vous une usine de plaisirs, plutôt que de garder en formol le souvenir de leurs jouissances.
imagine: Hélas, la fontaine de Jouvence qu'est le membre procréateur n'est que trop nécessaire pour conserver la beauté éternelle de ses créatures acharnées!
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